la dépendance ça vient de toi

sans une image suis je aussi malade de ceux qui en acceptent ton sein toi qui ma dit je suis l'unique maître de la culture orthographique en des cyllabes grossières

Inutile !

Attention ! Je n'ai pas la patience ni la bienveillance de Feuille !

Si tu ne fais pas plus d'efforts pour être COMPRÉHENSIBLE,
tes messages seront dans un premier temps déplacés, (j'ai déjà commencé)
puis si tu insistes, tes nouveaux messages seront effacés sans autre avertissement
et pour finir, tu pourras être banni...

jusqu'à ce que je retrouve l'envie de te lire !
J'ai pas que ça à faire...

Il n'y aura pas d'autres mises en garde.
En l'absence de Feuille, je fais ce que je veux !
Je suis un dictateur dûment autorisé !

même pas peur !

je soufre tellement que je ne puis ne pas vous apitoyez ce verbe dommage de mourir entre vos lèvres
mais qu'es ce dont d'un homme de bien être se découdre d'un savoir corriger le verbe
ami soyez vous agréable en mon encontre je ne suis que le verbe de ce qui mappartient sans offance enfin de ce qui me semble bon
ou ri la valeur d'être si loin de nous
l'excuse est une valeur préjudisciable votre honneur soyons prompte et mondain jouissez de vos matérels je n'en ai que du regard pour vous saluer
''[size=9]
les larme du ciel sont si vivantes et respectueuses que je vous en donne la main ne soyez pas si fragile de vôtre hébergeur

Hmmm... ca sera vraiment sans regret pour moi !

a écrit:

mais qu'es ce dont d'un homme de bien être ....... ne soyez pas si fragile de vôtre hébergeur

554 imbéc inutilités
sans compter les sous-pseudos

C'est tout ce qu'ils ont trouvé à l'hôpital de jour pour l'occuper ?
Ca soulage sa famille en attendant mais quand même ...

Il aurait dû suivre sa Vénuss : deux gâteux (1?) de moins

Paroles et Musique: Jean Michel Jarre, Patrick Juvet 1977
© 1977 - Disque Barclay avec l'aimable participation de Inutile


Ils portent un blouson noir
Ils fument le cigare
Font parfois un enfant
Par hasard !
Et dès que vient le soir
Ils courent dans le néant
Vers des plaisirs provisoires

Où sont les Cons ?
Avec leurs gestes pleins de charme
Dites-moi où sont les cons ?
Cons, cons, cons, cons
Où sont les cons ?
Qui ont des rires pleins de larmes
Auraient-ils perdu leur flamme
Flamme, flamme, flamme, flamme
Où sont les cons ?

Ils ne parlent plus d'amour
Ils portent les cheveux courts
Et préfèrent les motos aux oiseaux
Ils ont dans le regard
Quelque chose d'un robot
Qui étonne même les miroirs

Où sont les cons ?
Qu'on embrasse et puis qui se pâment
Dites-moi, où sont les cons ?
Cons, cons, cons, cons
Où sont les cons ?
Qui ont ces drôles de vague à l'âme
Qu'on caresse et puis qui planent
Planent, planent, planent, planent
Où sont les cons ?

Où sont les cons ?
Qui vivent au bout des télégrammes
Dites-moi, où sont les cons ?
Cons, cons, cons, cons
Où sont les cons ?
A la fois si beaux et si pâles
Aux yeux qui traînent et qui flânent
Flânent, flânent, flânent, flânent
Où sont les cons ?

Avec leurs gestes pleins de charme
Dites-moi où sont les cons ?
Cons, cons, cons, cons
Où sont les cons ?
Qui ont des rires pleins de larmes
Auraient-ils perdu leur flamme
Flamme, flamme, flamme, flamme
Où sont les cons ?
Où sont les cons ?
Où sont les cons ?
Où sont les cons ? ......

a écrit:

Où sont les cons ?
Où sont les cons ?
Où sont les cons ?
Où sont les cons ? ......

Puisque tu poses la question
prends un miroir regardes-toi, et t'en verra un copieux.

----------------------------- Approch' pas mon Papa, C pê con tagieux ...

le stade du miroir et son image dans le miroir
cet évènement peut se produire par
un aspect instantané d' une identification suffisamment indiquée par l'usage au leurre d'une identité aliénante
ce qui importe alors, c'est la fonction relationnelle réfléchie par l'image du miroir
La vérité est dans le miroir ce qui confirme toute forme sensible réfléchissante d' individuation narcissique primaire (essai)

a écrit:

La vérité est dans le miroir

je te le fais pas dire ...

une référence introuvable en toi 'inutile' garde la précieusement et ne t'oublie pas dans le bon sens un miroir n'a pas de double face en général